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3 juillet 2012

La Vie Apres la Mort : Est-ce une réalité ? Par :

La Vie Apres la Mort : Est-ce une réalité ?

            Par : Ivann Deweare Lindor

contemplantion divine

 

 

 

Selon Ivann Deweare Lindor

Il est évident que le livre d’Urantia tente simplement de nous apprendre qu’après la mort, l’âme de l’entité continue, dans l'Inconscience de la conscience, sa saga de pèlerinage des temps dans le Temps, à présent non limité, d’expériences purement spirituelles vers les rives éternelles  des réalités morontiennes, disons semi humaines semi-spirituelles.

Au-delà du physique périssable, sensible aux émotions les plus vulgaires, l’entité- quoique encore attachée aux pulsations vibratoires de sa personnalité répercutée dans l'Interface basique de son vécu, enveloppé dans le tissu subtil de son Astral- puisse sentir et ressentir les moindres secousses de ce qu’il fut, et ou il est présentement, de ce qu’il n’est plus, tout en se réveillant du cauchemar de son sommeil fracassant, et même par moments, effrayant à la réalité ankylosante de sa violente mort . C’est à ce niveau que le Christianisme, quant à lui, admet l’ascension de l’âme spirituelle à travers certes, la souffrance inhérente à la condition humaine.

Bien que le livre d’Urantia se démarque de cette remarque superflue « à travers la souffrance ». Car peut-on accepter pour souffrance le fait que l’âme se sépare de ses différentes enveloppes ? Là, il y a erreur de sens ou d’appréciation spirituelle. Oui, correctement, l’ascension de l’âme doit jalonner ou faire face à différents niveaux de réalités de vie, ce qui, implicitement, exige des déboires au niveau de la faiblesse de la condition humaine à se défaire de ses acquis ou dons d’existence même lorsqu’ils constituent un poison pour elle. De ce fait, l'âme- en proie au "nouveau merveilleux’’ qui reflète la pureté, l'Absoluité dans sa candeur de réflexion ordonnée- tend à se morfondre davantage dans la vile sensation de douleur, mais qui n'est au fond que les étapes fluidiques et vibratoires de la pensée-énergie qui veut communiquer à ce bizarre visiteur les vêtements adéquats inhérents à son statut actuel de morentien "niveau 1" d'apprentissage élémentaire des matériaux morentiels. Ainsi, il est plus que préhensible que cette étrangère, habituée aux manifestations multiformes, et à la facilité des choses, se demande anxieuse et apeurée « que se passe-t-il? Qu'en est-il d'elle? » Soudain, se voyant submergée par un flot de rayons de lumière aux ondes envahissantes, donc, elle se croit souffrante parce que ses sens, c.-à-d. l'essence de son soi, ressentent de drôles de sensations voisines de crispation et de rancœur. Pour cela, l'idiote et l'inhabitée qu'elle est, elle se croit réellement souffrante.

La vie après la mort est effective dans la mesure qu’elle est la continuité de ce qui a été entamé dans le présent factuel pour continuer dans le présent Eternel de l’Eternel présent, en passant par les niveaux de réalités de vie ascensionnels, niveaux qui investissent l’âme de nouvelles enveloppes, et c’est à partir de là que l’âme en question n’aura plus à lutter contre la chair et le sang, pour répéter la bible, mais sera reconnue et acceptée comme réalité d’agrégat spiritualisé en quête de la Lumière

Une fois ce niveau de l’inconscience de la conscience éveillée, l’âme ne regrettera plus ses manques, ses passions, ses amours. Au contraire, elle s’en fuira loin de ces souvenirs chimériques et paralysants. Elle prendra son réel essor, sa liberté sera incontestablement inaliénable dans le sens le plus parfait du terme. « Alors tu connaitras la vérité et la vérité t’affranchira »

La voici, la voilà, l’âme ex-défunte, devenue l’âme vivante qui triomphe de la mort temporelle, et combat maintenant celle qui tue l’esprit et l’Astral, comprenez par là que je fais allusion à un aspect purement ténébreux de l’ensemble des réalités de vie et de mort sur les dimensions où les faiblesses sont perçues et sanctionnées par la violence de la pensée sur l’énergie qui ne doit se soumettre à aucune erreur de sens ni de "manque d’obéissance". Car à ce stade tout est uni en Tout par l’entremise d’une qualitative énergie, dans l'unité du Saint-Esprit

De l’accompagnement de l’Ame

Tel qu’il est dit dans la bible «  chacun renaitra en son rang »

Si la traversée se fait seulement par l’accompagnement de l’âme au niveau de sa simplicité d’évolution qui ne détermine aucune particularité de grâce ou de miséricorde, elle, l’âme, sera tout bonnement enregistrée dans les annales akashasiques comme « public », c.-à-d.  « évoluée-affectée ». Elle n’aura droit à aucune faveur spirituelle particulière découlant de la suprématie d’évolution. Là, en ces lieux du Lieu, elle y séjournera pour un temps indéfini.

Si par contre la traversée se fait par l’accompagnement de l’âme au niveau de sa valeur en tant qu’évoluée dignitaire, elle sera enregistrée dans les annales morontielles comme « étrangère-accomplie ou EVA», et elle sera assistée depuis le point de sa traversée, jusqu’aux Portes des Rayons, par l’Archange Eternel, lui-même, et son Essence sera enveloppée dans un tissu bleu ou violet, pour la protéger des rayons néfastes de la subjectivité  et de la morsure des scorpions du couloir eternel, ces Dieux de l’hérésie qui sont confinés en ce lieu comme agents dignitaires karmiques pour évaluer, peser et éprouver les âmes dans leur dernière attache à la terre et leur ascension vers les niveaux d’épuration spirituelle ; ainsi, aussi, ils peuvent s’acquitter de leurs dettes spirituelles antérieures, à leur tour.

Dans les deux cas, l’âme se doit de se débarrasser de ses enveloppes d’origine humaine, susceptibles de coincer son Essence dans les dédales cruelles du temps et de l’espace.

Plus que tout autre agrégat humain, l’âme est privilégiée quelque soit son origine. Toute âme, animale ou humaine, ou animale humaine, est dotée de la possibilité de s’éteindre un jour pour se réveiller en quelque lieu supérieur, même lorsqu’en fait certaines espèces d’âmes n’auront pas à évoluer dans les dimensions supérieures purement spirituelles. Mais grosso modo, elles sont toutes appelées à se dépouiller de leur tissu humain physique et de tous les autres, subtils qui composent leur univers. Et elles subissent toutes les ondulations spirituelles des étapes de l’ascension.

En réalité, au moment du trépas, l’âme voit toutes les facettes de son image : sa beauté, son laideur, ses réalités, son passé ainsi que ses bourreaux et /ou son libérateur. Et en fonction de ses actions passées, elle peut-être très agitée, tourmentée voire même apeurée, et sa situation post-cadavérique, toujours se lit sur son visage de manière éloquente. la joie peut-être la seule réponse à cette expression rassurante s’il s’agit d’une âme qui a fait une merveilleuse évolution, ou La peur à cette expression déconcertante s’il s’agit d’une âme qui a fait une faible évolution, ou encore une mauvaise évolution. Dans le dernier cas, nous savons qu’il est toujours de mise que quelque soit le type d’évolution l’âme aura toujours à confronter ses propres réalités dans le « couloir du Silence ou couloir des scorpions » sous forme d’ombres ou de spectres spirituels souvent pris pour des fantômes squelettiques parce que méconnus de presque la totalité des humains. En réalité ce sont des « mangeurs d’âmes », les Esprits véritables du Seuil, les Gorgones, les Vampires cosmiques, qui n’ont de forme sinon qui épousent cette dernière en vertu de la peur présente dans l’âme au moment précis de son départ et de sa traversée, sans omettre qu’au bout du tunnel d’autres entités apparemment plus grimaçantes attendent l’Hôte pour la terrasser.

Au moment de ses adieux à la terre physique où nous évoluons en tant qu’êtres humains, l’âme fait la connaissance du Diable réel et du Dieu d’Amour universel et Infini. L’espace d’un cillement ou d’une éternité, dépendamment de la condition de son énergie et/ou de sa Foi, à savoir si déjà, elle embrasse les réalités dimensionnelles ou pas, l’âme moribonde est tiraillée par les esprits des ténèbres, ces éternels polichinelles en quête de liquide pranique pour assouvir leur soif. Et connaît-elle les pires moments de son existence, à travers le silence de la Vie ou la Vie de la Mort pour aboutir enfin a la Vie si elle réussit sa traversée, dans le cas contraire, elle finira dans les méandres de la Forge de Cyclope pour n'etre que poussiere cosmique eternellement 

ascension

 

 

selon le livre d'Urantia

Le Livre d'Urantia décrit le parcours ascensionnel de l'âme survivante, comme une succession de vies jalonnant différents niveaux de réalités de moins en moins matériels et de plus en plus spirituels, pour atteindre in fine le Paradis.

Dans le terme immédiat de la vie terrestre, "les survivants mortels ressuscités reprennent le fil de leur vie exactement au point où ils l'ont laissée quand ils ont été surpris par la mort", sur l'un des 7 mondes des maisons, en fonction de leur degré d'évolution spirituelle.

À l'autre extrémité de leur "pèlerinage du temps et de l'espace", les âmes ascensionnelles acquièrent le statut de "finalitaires" après avoir été embrassé par la présence de Dieu, et retournent en mission éducative dans l'univers.

Le mécanisme de la mort physique n'est pour autant pas une fatalité. Les humains spirituellement les plus évolués, peuvent fusionner avec leur esprit divin intérieur (fragment du Père universel habitant l'homme) et être directement transféré dans l'au-delà (le monde "morontiel"), comme "emporte dans un char de feu".

Inversement, la véritable mort est celle de l'âme s'accompagnant de l'extinction de la personnalité pour ceux qui, malgré la miséricorde divine, réitèrent leur refus de progrès spirituel et leur longue participation au grand œuvre de l'univers auquel Dieu les invite

Selon le christianisme

Selon le christianisme, l'ascension spirituelle se fait à travers la souffrance inhérente à la condition humaine. Jésus s'étant déclaré être la voie vers l'immortalité de l'âme, ce serait par lui que l'on peut atteindre la vie après la mort. "Jésus (...) dit: Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi (Jean 14, 6)." Les souffrances d'ici-bas sont alors perçues comme de multiples occasions des les unir la souffrance du Christ crucifié et ainsi de devenir des êtres donnés à l'image de son enseignement (aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés (Jean 13, 34)) et ainsi obtenir la grâce de l'éternité. Le chrétien engagé dans une telle démarche spirituelle accepte conséquemment la souffrance comme une grâce de salut, et cela, tout en faisant tout ce qui est en son pouvoir pour la faire diminuer autour de lui. Il participe ainsi à la souffrance rédemptrice du Christ par sa condition de mortel qui, en aucun cas, n'échappe à la souffrance.

A suivre

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